À l’occasion de cette 50ème édition arlésienne des Rencontres de la Photographie, la rédaction est invitée à découvrir les artistes venus présenter leurs récentes créations. Cette chronique s’ouvre avec Henrike Stahl, vivant entre Berlin et Paris, elle s’est consacrée à une série comme étant une « ode à la vie ». L’artiste explore l’intime sensation de se sentir vivre, ainsi que trois façons d’exploiter la fin du monde : « Risk it », « Touch it », « Push it ». Autodidacte, née en 1980 en Allemagne près de Francfort, Henrike Stahl travaille d’abord entre Hambourg et Paris. Elle assiste, en tant que propstyliste, Paolo Roversi, puis Taryn...